En 2012, l’Assemblée générale des Nations Unies a désigné le 6 février Journée internationale de tolérance zéro à l’égard des mutilations génitales féminines (MGF) afin d’intensifier l’action mondiale visant à éliminer cette pratique.
En 2022, le Programme conjoint UNFPA-UNICEF pour l’élimination des mutilations génitales féminines « Accélérer le changement » a présenté le thème de la Journée internationale de la tolérance zéro aux mutilations génitales féminines : Accélérer les investissements pour mettre fin aux mutilations génitales féminines.
Bien qu’il s’agisse d’une pratique millénaire, il y a des raisons de penser que nous pouvons mettre fin aux mutilations génitales féminines en une seule génération. C’est pourquoi l’ONU intensifie ses efforts afin de pouvoir éliminer complètement cette pratique d’ici à 2030, conformément à l’esprit de l’Objectif de développement durable 5 : égalité entre les sexes.
A l’occasion de la célébration de cette journée dans la sous préfecture de Banora, Préfecture de Dinguiraye, le sous-préfet, commandant Mamadou Camara a dans son discours proposé des pistes de solutions pour y arriver. Parmi lesquelles, l’implication de tous dans la lutte à commencer par les autorités administratives, suivie des élus locaux, des organisations de jeunesse mais aussi de femmes.
Ci-dessous le discours intégral.
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