Selon Aboubacar Diallo, informaticien avec plusieurs années d’expériences en Guinée et sur le continent africain, les satellites qui atteignent la surface terrestre sans être entièrement détruits lors de leur rentrée dans l’atmosphère peuvent contenir des substances toxiques ou dangereuses. Pour lui, une action rapide et coordonnée doit être faite par les autorités en vue de protéger la population et l’environnement contre ces menaces potentielles.
Il l’a fait savoir à travers sa page facebook en écrivant ces quelques lignes :
Lisez !!!
Les satellites qui atteignent la surface terrestre sans être entièrement détruits lors de leur rentrée dans l’atmosphère peuvent contenir des substances toxiques ou dangereuses, telles que l’uranium 238 et l’hydrazine.
- L’uranium 238, en raison de sa radioactivité, peut contaminer les sols et les ressources en eau, entraînant des risques graves pour la santé et l’environnement.
- L’hydrazine, quant à elle, est une substance hautement nocive pouvant causer des irritations sévères, des brûlures chimiques et des dommages au système nerveux.
Les autorités locales ainsi que les populations proches des zones d’impact doivent immédiatement prendre les mesures nécessaires pour éviter tout contact avec ces matériaux hautement dangereux en attendant leur identification.
Il est impératif que Conakry réagisse rapidement pour contrôler ce phénomène, identifier les responsables et interpeller les propriétaires de ces engins spatiaux.
Rappelons que chaque appareil technologique contient des données d’identification permettant de connaître :
- Le propriétaire de l’appareil,
- Le pays de fabrication,
- La date de conception,
- Le type de technologie embarquée.
Une action rapide et coordonnée est essentielle pour protéger la population et l’environnement contre ces menaces potentielles.