Le ministère de la Santé et de l’Hygiène Publique sous le leadership du Ministre Oumar Diouhé Bah, a une vision 00 décès, liés aux accouchements en République de Guinée. C’est dans ce cadre que les structures sanitaires du pays sont en train d’être fournis en kits de césarienne et d’accouchement. A Gaoual, c’est le préfet Colonel Augustin Fancinadou qui a présidé, la cérémonie de remise des kits sanitaires à la Direction préfectorale de la santé (DPS).
La rencontre a connu la présence du représentant de la Direction régionale de la santé de Boké, Dr Toumany Dialllo, du Directeur préfectoral de la santé de Gaoual, Dr Tahirou Diallo et son équipe cadre, des 08 chefs de centres de santé, des agents PEV (Programme élargie de la vaccination) et des sages-femmes.
Dans son discours de circonstance, le DPS de Gaoual, Dr Tahirou Diallo, a remercié le gouvernement guinéen et les partenaires techniques et financiers, pour leurs efforts fournis dans le cadre de l’amélioration du bien-être des populations guinéennes à travers les couvertures vaccinales, l’amélioration des conditions de travail dans les structures sanitaires du pays, la formation et la dotation en équipements et en médicaments essentiels.
Le DPS s’est engagé au nom du district sanitaire à utiliser judicieusement ces kits dans le seul objectif de l’amélioration de la prise en charge de la mère et l’enfant dans les consultations prénatales et les accouchements dont la gratuité doit être appliquée dans son entièreté.
De son côté, le préfet, Colonel Augustin Fancinadouno, après avoir remercié le gouvernement pour ce geste en faveur des structures de santé, a fait un rappel élogieux des acquis des trois ans du gouvernement de transition dirigé par « l’homme de la paix », le Général de corps d’armée Mamadi Doumbouya.
Il a cité en exemple les infrastructures routières, son attention pour la santé des populations, la refondation verte à travers les investissements dans l’agriculture et l’élevage pour une autosuffisance alimentaire, la refondation institutionnelle avec la rédaction d’une nouvelle constitution, la construction, l’équipement et l’approvisionnement des structures sanitaires en médicaments essentiels etc.
Pour le préfet, colonel Augustin Fancinadouno, aucune femme ne doit désormais mourir en donnant la vie. Avec cet appui aux structures sanitaires et de soins, l’état vise l’amélioration du bien-être de la mère et de l’enfant, un objectif bien inscrit dans le programme du CNRD, a-t-il dit.
Le préfet promet de suivre l’application de cette décision gouvernementale en procédant à des visites inopinée dans les structures sanitaires.
Ibrahima Diallo