Eh ! Mon pays, lorsque la conscience et la langue sont absolument assujetties au ventre ou aux intérêts circonstanciels, aucun bonheur collectif n’est possible dans cette société.
Il y a des Guinéens qui sont extraordinaires dans l’immoralité et la constipation spirituelle.
Pourquoi nombreux sont, ceux ou celles qui se disaient fils/filles ou allié(e)s inconditionnels du PRAC, aujourd’hui (sous le CNRD) qui sont incapables de prononcer son nom (PRAC) dans leurs messages relatifs au décès de son épouse (paix à son âme) qu’ils ont connu ou courtisé grâce à lui (PRAC).
Et, pourtant ces gens là, pendant que l’homme était aux affaires…
Moi, Abdoul Sacko, j’ai été diffamé, diabolisé et combattu pendant les 11 ans de l’homme (PRAC) au pouvoir à cause de notre posture (des collaborateurs, partenaires & moi) à lui d’écrire de façon citoyenne sans passion, ni complaisance les réalités et le vécu au quotidien des Guinéens pour lui permettre de réussir sa mission de chef de l’Etat, mais je ne peux me prononcer sur le décès de cette maman (paix à son âme) sans lui (PRAC) adresser mes condoléances, sur tout qu’elle a été connue des Guinéens à travers lui.
Mon Dieu ! Quel exemple veulent-ils, j’allais dire voulons nous donner par cette attitude à suivre la direction du vent pour le « MOI » sans moralité, ni conscience patriotique ?
Quel bonheur collectif est il possible dans un tel contexte?
Oh ! Mon Dieu ! Sauve nos âmes à la recherche du pain, de la gloire et de l’intérêt personnel sans dignité, ni spiritualité et moins de conscience patriotique, pour permettre enfin au Guinéens de vivre dignement et heureux sur son sol quelque soit son rang ou statut social.
Paix à l’âme de la défunte, mes condoléances renouvelées à ses enfants, son époux (PRAC), sa famille et alliées, ainsi qu’à tout le peuple de Guinée.
Amen !
Abdoul Sacko, pour une Guinée des consciences patriotiques et de culture de la moralité pour le bonheur collectif