Le 28 décembre 2025 pourrait marquer un tournant historique dans la politique guinéenne, et nul doute qu’il s’agira d’une élection marquée par une véritable victoire de l’actuel président, le Général Mamadi Doumbouya. En effet, l’absence de consignes de vote claires de la part des partis politiques traditionnels, l’absence d’un programme de société concrets de certains candidats, et surtout, le manque d’implantation de certains partis à l’intérieur du pays et de soutiens populaires solides en face, font du général Mamadi Doumbouya le candidat incontesté dans ce processus électoral.
Un bilan tangible qui répond aux attentes populaires
À l’heure où la Guinée traverse une période de transition politique, marquée par des défis multiples et complexes, le Général Mamadi Doumbouya se présente comme l’homme de la situation. Il a su imposer son leadership en capitalisant sur un ensemble de réalisations concrètes qui, à leur tour, ont redéfini les attentes des Guinéens vis-à-vis de leurs dirigeants. Si l’on observe les infrastructures modernes – des routes, des hôpitaux, des ponts (Kagbelen, trente six, Bambeto….) et des grands projets comme la Vision Simandou 2040 la plus grande réserve de fer brut non exploitée au monde, qu’il a mises en place depuis sa prise de pouvoir, on comprend aisément pourquoi sa popularité est si forte et son emprise sur le pays est si solide. Le Général Mamadi Doumbouya incarne l’espoir d’un changement radical, loin des pratiques politiques anciennes qui ont conduit le pays à une gestion des affaires publiques souvent marquée par la corruption et l’incapacité à impulser un réel développement.
La construction d’infrastructures de qualité et l’amélioration des services publics répondent à un besoin fondamental : celui d’un renouveau tangible et mesurable dans la vie quotidienne des Guinéens. Contrairement à certains de ses concurrents qui manquent d’une vision claire et d’un programme structuré, le Général Mamadi Doumbouya a su se forger une image de chef d’État pragmatique, capable de livrer des résultats concrets. C’est un leader qui sait répondre aux urgences, et qui a montré qu’il pouvait impulser des projets de grande envergure pour le bien-être de la nation.
Comme l’a dit le célèbre propagandiste politique Joseph Goebbels : « La propagande doit se concentrer sur des actions concrètes. Il ne s’agit pas de promettre, mais de réaliser. » le Général Mamadi Doumbouya a compris que la confiance du peuple ne se gagne pas par des discours vides, mais par des actes qui changent le quotidien des citoyens. La Guinée d’aujourd’hui est plus moderne, mieux connectée, et plus ouverte sur le monde grâce à ses actions.
L’incapacité des partis traditionnels et l’absence d’une opposition structurée
Si le Général Mamadi Doumbouya fait face à une opposition politique, cette dernière semble être composée de candidats éparpillés et sans réelle cohésion. Les partis traditionnels peinent à se réinventer après des décennies de domination politique marquée par la non alternance au sein de leurs propres partis. Certains se retrouvent même dans une position inconfortable, ne sachant plus s’ils doivent appuyer des candidats ou s’abstenir, accablés par des divisions internes et une absence criante de projets de société. En vérité, ces partis ont été mis à mal par des pratiques de clientélisme et par des querelles de personnes qui les ont éloignés des préoccupations réelles du peuple.
La division de l’opposition et l’absence de leaders charismatiques capables d’unir le pays sous un même programme rendent la compétition contre le Général Doumbouya quasiment impossible. Ce dernier a su se positionner en tant que garant de la stabilité et du progrès, là où ses adversaires politiques ou aînés ont échoué à offrir des solutions concrètes.
La situation est telle qu’il ne serait pas surprenant que le Général Mamadi Doumbouya remporte la présidentielle dès le premier tour, comme l’avait prédit Karl Rove, un stratège politique américain : « Dans une élection, les citoyens votent non seulement pour une personne, mais aussi pour un projet de société. Lorsqu’un leader parvient à incarner ce projet de manière authentique, les résultats sont implacables. » En Guinée, le Général Doumbouya a su incarner ce projet. Il ne se contente pas de promettre, il a déjà prouvé ce qu’il est capable d’accomplir.
Une nouvelle gouvernance : l’espoir d’une Guinée nouvelle
L’ascension du Général Mamadi Doumbouya n’est pas qu’une simple question de pouvoir, mais de gouvernance nouvelle. Face à un système politique sclérosé, figé dans ses pratiques, le président de la transition offre l’opportunité d’une véritable rupture. Il incarne le renouveau d’une gouvernance transparente, qui lutte contre la corruption et la gabegie financière. Dans un pays où l’État a longtemps été perçu comme une machine vorace à prélever les richesses sans redistribuer équitablement, le Général Mamadi Doumbouya a su instaurer des réformes visant à assainir les finances publiques et à garantir une gestion plus rigoureuse et plus éthique des ressources de l’État.
Ce vent de changement n’est pas une simple promesse, il est déjà en marche. Ce qui séduit une large partie de l’électorat, c’est cette image d’un homme qui a pris des décisions difficiles mais nécessaires pour le bien du pays, et qui semble déterminé à continuer dans cette voie.
Dans ce contexte, l’idée d’un coup KO dès le premier tour ne semble pas irréaliste. Le président Mamadi Doumbouya bénéficie d’une légitimité née de ses actions concrètes et de son ouverture à une gouvernance plus moderne. Ses opposants, désunis et sans projet cohérent, n’ont pas su s’organiser pour proposer une alternative crédible.
Conclusion : La politique au service du peuple
Le Général Mamadi Doumbouya a déjà prouvé qu’il pouvait être un homme de transition capable de faire face aux défis du pays. Si l’on en croit les grands penseurs politiques comme Léon Trotsky qui affirmait : « Ce qui est politique, c’est la capacité à répondre aux besoins concrets des masses populaires, à transformer la réalité », le président Mamadi Doumbouya semble être celui qui comprend les besoins urgents de la Guinée. La politique, pour lui, n’est pas une simple arène de luttes de pouvoir, mais un outil au service du peuple. Et à ce titre, il semble avoir l’adhésion d’une majorité des Guinéens.
Le 28 décembre 2025, il se pourrait bien qu’un autre type de politique triomphe en Guinée. Une politique fondée sur l’action, l’efficacité et la transformation réelle. Dans un tel contexte, l’idée d’un coup KO dès le premier tour de l’élection présidentielle ne serait ni une surprise, ni un accident : ce serait la juste récompense d’une gouvernance audacieuse et résolument tournée vers l’avenir.
Alpha Oumar Baldé
Analyste Politique










