Le ministre de la Pêche et de l’Économie maritime, Fassou Théa, a officiellement annoncé la fin du repos biologique à partir de ce lundi 1er septembre 2025 à minuit. Cette décision intervient après une pause réglementaire de deux mois, instaurée afin de préserver les ressources halieutiques et favoriser leur renouvellement.
Entré en vigueur le 30 juin dernier, ce repos biologique avait pour objectif principal de protéger les écosystèmes marins fragiles en suspendant temporairement les activités de pêche. Selon le ministre, cette mesure a été strictement respectée par l’ensemble des acteurs du secteur, une réussite rendue possible grâce à une surveillance renforcée sur les zones de pêche.
« Durant cette période, la surveillance des zones de pêche a été considérablement renforcée grâce à la synergie entre toutes les structures étatiques de contrôle et de surveillance, rendue possible par la mutualisation de leurs moyens et équipements », a expliqué Fassou Théa. Cette collaboration entre différents organismes gouvernementaux a permis de garantir le respect des règles, sans aucune infraction relevée tout au long du repos biologique.
Le ministre a également précisé que la reprise des activités ne concerne pas uniquement la pêche industrielle et semi-industrielle, mais s’étend aussi à la reprise des opérations d’exportation et de réexportation des produits halieutiques. Ces activités avaient été temporairement suspendues en parallèle pour limiter la pression sur les stocks marins.
« La reprise de la pêche industrielle et semi-industrielle s’accompagne de l’autorisation de reprendre les activités d’exportation et de réexportation des produits halieutiques à compter de ce lundi 1er septembre », a-t-il annoncé.
Cette nouvelle saison s’ouvre donc sur un optimisme prudent. Fassou Théa a tenu à rappeler que la vigilance demeure essentielle afin d’assurer une gestion durable des ressources maritimes. « Nous devons continuer à œuvrer pour préserver notre patrimoine halieutique, en maintenant une surveillance rigoureuse et en impliquant tous les acteurs du secteur », a-t-il conclu.
Les professionnels de la pêche, après deux mois d’arrêt, reprennent désormais leurs activités, conscients des enjeux écologiques et économiques liés à cette reprise.
Le ministre de la Pêche et de l’Économie maritime, Fassou Théa, a officiellement annoncé la fin du repos biologique à partir de ce lundi 1er septembre 2025 à minuit. Cette décision intervient après une pause réglementaire de deux mois, instaurée afin de préserver les ressources halieutiques et favoriser leur renouvellement.
Entré en vigueur le 30 juin dernier, ce repos biologique avait pour objectif principal de protéger les écosystèmes marins fragiles en suspendant temporairement les activités de pêche. Selon le ministre, cette mesure a été strictement respectée par l’ensemble des acteurs du secteur, une réussite rendue possible grâce à une surveillance renforcée sur les zones de pêche.
« Durant cette période, la surveillance des zones de pêche a été considérablement renforcée grâce à la synergie entre toutes les structures étatiques de contrôle et de surveillance, rendue possible par la mutualisation de leurs moyens et équipements », a expliqué Fassou Théa. Cette collaboration entre différents organismes gouvernementaux a permis de garantir le respect des règles, sans aucune infraction relevée tout au long du repos biologique.
Le ministre a également précisé que la reprise des activités ne concerne pas uniquement la pêche industrielle et semi-industrielle, mais s’étend aussi à la reprise des opérations d’exportation et de réexportation des produits halieutiques. Ces activités avaient été temporairement suspendues en parallèle pour limiter la pression sur les stocks marins.
« La reprise de la pêche industrielle et semi-industrielle s’accompagne de l’autorisation de reprendre les activités d’exportation et de réexportation des produits halieutiques à compter de ce lundi 1er septembre », a-t-il annoncé.
Cette nouvelle saison s’ouvre donc sur un optimisme prudent. Fassou Théa a tenu à rappeler que la vigilance demeure essentielle afin d’assurer une gestion durable des ressources maritimes. « Nous devons continuer à œuvrer pour préserver notre patrimoine halieutique, en maintenant une surveillance rigoureuse et en impliquant tous les acteurs du secteur », a-t-il conclu.
Les professionnels de la pêche, après deux mois d’arrêt, reprennent désormais leurs activités, conscients des enjeux écologiques et économiques liés à cette reprise.
AGP