Dans les jours qui ont suivi, le CNSP (conseil national pour la sauvegarde de la patrie), avait accusé la France de vouloir intervenir militairement pour libérer le président nigérien, Mohamed Bazoum, toujours détenu, et assurait que « la France, avec la complicité de certains nigériens, a tenu une réunion à l’Etat-Major de la garde nationale du Niger pour obtenir des autorisations politiques et militaires nécessaires ».
Face aux risques, Air France a complètement suspendu ses liaisons entre Niamey et Paris jusqu’à nouvel ordre pour des questions d’ordre sécuritaire.
À noter que depuis le début des événements, la France a toujours réclamé le retour du président Bazoum au pouvoir et soutenu les décisions de la CEDEAO réclamant le retour de l’ordre constitutionnel.
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