Malgré les multiples négociations faites par les autorités préfectorales de Boké, les deux camps se rejettent toujours la responsabilité, au sein même de la société certains travailleurs qui ne sont pas en commun accord avec leurs collègues grévistes, disent que ceux-ci n’auraient pas déclencher ce mouvement de grève. Si une plainte a été déposée à la justice contre certains qui sont accusés d’avoir barricader les portes du site de la société, du côté de la Direction générale, la chargée des Ressources Humaines de cette société, madame Tenin Doumbouya a rassuré ceux qui ne sont pas impliquer dans cette plainte de reprendre le service, elle déclaré que : « À part les 32 personnes qui ont barricadé la route, c’est à dire qui ont violé la loi, c’est la justice guinéenne qui va trancher, le directeur a foi en la loi guinéenne, en dehors de ces 32 personnes, les autres travailleurs peuvent revenir le directeur l’a toujours dit la porte est grandement ouverte, ça fait 45 jours depuis que cette grève est déclenchée je ne sais pas qu’est-ce qu’ils font à la maison. Mais le constat est que ce sont des délégués syndicaux qui influencent leurs collègues travailleurs, sinon certains veulent revenir mais ils disent qu’ils ont peur de leurs syndicats. Tous ceux qui veulent revenir sachent que la porte est grandement ouverte, les 32 autres personnes pourront revenir mais c’est quand le jugement sera rendu entre eux et la direction générale » a-t-elle tranché.
Mohamed Cherif Diallo